28 novembre 2022 •

Santé mentale ✨ •

Quel business model adopter en accord avec ta santé mentale ?

Ton business model c’est une des fondations de ton entreprise.

ll est là pour assurer la pérennité de ton entreprise. Au-delà de construire des offres, des formations ou encore des accompagnements : c’est comment toutes ces offres s’articulent pour permettre de pérenniser ton entreprise.

Cet article est tiré de ma newsletter que j’envoi tous les mois. 

Mais au-delà de construire une entreprise pérenne, j’ai envie d’appuyer ici sur la réalité du terrain et comment cela influe sur ta santé mentale. Il existe des entrepreneurs·es qui sont alignés sur l’idée de faire des lancements orchestrés tous les 3 mois. Et il existe des entrepreneurs plus alignés sur l’idée de lancer une grosse offre 1 fois par an.

Tout existe.

Cependant, ce n’est pas toujours aligné sur la capacité de travail et de mise en mouvement de chacun·e.

Le business modèle, c’est un des trois piliers de ton entreprise dans le triptyque : organisation, stratégie de contenu et offres.

Il existe autant de business modèles que d’entreprises dans le monde, mais un modèle aligné sur nos valeurs et notre santé mentale… C’est toujours plus compliqué à construire.

Pourquoi ? parce que chaque cerveau est différent, chaque manière de travailler est différente et juste copier coller un modèle n’est pas toujours la meilleure des solutions.

C’est pour cette raison que j’ai voulu inviter 3 personnes concernées par le sujet :

  • Caroline Lombard, Online Business Manager spécialisé sur le slow business
  • Valentine Lagand, Copywritrice, créatrice de tunnels de vente spécialisé sur la vente féministe et éthique
  • Maud Klein, Online business Manager spécialisé sur les business minimalistes

Alors oui bien sûr, ce n’est que le début de ta réflexion. Cette newsletter n’est pas là pour te donner tout ce qui existe. C’est un début pour te permettre de t’inspirer, de planter une graine dans ton cerveau qui te permettra de te mettre en mouvement et de passer à l’action.

Transcription de l’épisode

Adopter le slow business l’a sauvée 😱

Pour parler slow business j’accueille donc Caroline Lombard, Business manager depuis 2012. Elle accompagne les entrepreneurs à construire la structure de leur entreprise et co-pilote la gestion de leurs projets et équipes.

💬 Je lui laisse la parole.

C’est en 2019, alors que mon entreprise battait son plein, que mon corps a commencé à m’alerter : plus d’énergie, des semaines de 50 h, tout gérer seule et des sollicitations très nombreuses ont grignoté mon équilibre vie perso/pro.

Un burn-out s’annonçait… pour l’avoir déjà vécu auparavant, je savais que les red flags 🚩 étaient là et qu’il me fallait réagir.

Grande curieuse, je suis partie en quête de solutions. C’est à ce moment-là que j’ai découvert le concept du slow business : « travailler moins et mieux en remettant l’humain au cœur de l’activité ».

Mon business model était axé sur une base simple : on me sollicite pour des services que je facture à l’heure.

Sauf que… le cercle vicieux s’est installé 😵‍💫 : recommandations = plus de clients = plus d’heures = que 2 bras et des journées non extensibles.

J’ai donc revu entièrement mon organisation pour qu’elle puisse coller à :

  • La vision que j’avais de mon entreprise et de sa croissance
  • Le temps que je souhaitais allouer à mes missions ET ma vie perso
  • Mon biorythme et ma productivité pour me respecter

En travaillant ces 3 piliers, je peux le dire, le slow business m’a sauvée 🙏🏻. C’est une introspection et un travail de fond que je vous préconise au moins une fois par an, voici quelques pistes :

  • Définir clairement la vision de votre entreprise, où vous souhaitez aller, et quels sont les projets et objectifs que vous souhaitez atteindre ? (Attention à ne pas vous surcharger : 3 projets par an sont suffisants).
  • Clarifier combien de temps par semaine vous souhaitez travailler et le cadrer : j’utilise la méthode des blocs temps pour m’organiser (écrivez bien cet engagement vis-à-vis de vous-même, sinon vous vous laisserez dépasser par l’horloge qui tourne à vive allure). Faites-en de même pour votre vie privée : loisirs, repos, voir des ami.e.s car ces moments off viendront remplir votre jauge d’énergie.
  • S’intéresser à votre bio rythme (ou rythme circadien) pour respecter vos différentes phases de la journée et ainsi caler vos moments de travail et détente (disclaimer : on est beaucoup plus productif et efficace lorsqu’on travaille aux bons moments)

Après 3 ans d’adoption, j’ai assez de recul pour vous garantir que cela fonctionne : être plus alignée et sereine a même permis un nouveau souffle à mon entreprise et mon rapport au travail s’est modifié (mon entreprise au service de ma vie, et pas l’inverse).

Un grand merci à Caroline pour sa participation et son regard sur le slow business. Je sens que c’est un vrai plus de mettre sa structuration d’entreprise au service de nous êtres humains et pas au service de gros objectifs business.

Si tu veux découvrir plus en détails le slow business, elle organise un calendrier de l’avant sur le sujet : la page d’inscription est juste ici !

Evergreen ou lancements, avant tout une histoire de vaisselle… 🍽️

Pour ma part, j’ai envie de te donner un autre regard sur la construction de ton escalier de valeur et la construction de tes offres. J’ai envie de te faire voir tes offres comme une charge de travail, comme de la vaisselle à faire.

Oui, je fais des comparaisons perchées mais je fais ce que je veux, c’est ma newsletter !

Quand on se lance on a souvent le réflexe de vendre ses compétences techniques via de la production. Que tu sois Graphiste, Community Manager, Webdesigner ou encore Communicant tu vends des offres avec des livrables à la fin.

Sauf que sur le long terme, tu peux vite rentrer dans un cercle vicieux où tu passes ton temps devant ton ordinateur à produire, produire ET produire…  Ça peut-être vite devenir un cercle vicieux pour ta santé mentale aussi. Tu fais tout le temps la même chose et tu n’exploites pas à 100% ta zone d’excellence.

Alors quand on passe de freelance à entrepreneur, c’est nécessaire de se poser la question fatidique : Lancements ou vente en Evergreen ?

On peut souvent entendre que les lancements orchestrés sont les plus stratégiques parce que ils permettent un réel sentiment de cohésion avec les futurs clients mais je pense que c’est oublier ta propre santé mentale quand tu es entrepreneur·e.

Vendre c’est avant tout une charge de travail : mettre à jour ta page de vente, ajouter les nouveaux témoignages, parler de ton offre sur les réseaux sociaux…

On va matérialiser cette charge de travail par de la vaisselle que tu dois laver.

Si tu fais des lancements, c’est comme si tu devais faire toute ta vaisselle tous les mois. Pendant 1 mois, tu manges, tu fais la cuisine, tu prends ton petit dej. Et tous les mois tu prends une après-midi : et tu fais TOUTE ta vaisselle !

Si tu fais de la vente en Evergreen (en continu donc), tu vas faire ta vaisselle tous les jours.

A chaque fois que tu fais ton petit dej : vaisselle !

A chaque fois que tu fais une raclette : vaisselle !

A chaque fois que tu fais des cookies : vaisselle !

Mais je pense qu’il existe un entre deux. Un moyen de faire de la vente pour une offre en evergreen et en lancements. Une façon de capitaliser sur le meilleur des 2 stratégies ! Car tu rentabilises tes coûts d’acquisition (grâce à ton evergreen).

Tu n’es pas épuisé par les lancements orchestrés et tu n’as pas l’impression de faire ta vaisselle tous les jours héhé ! Tu vas par exemple attirer des prospects en parlant de ton offre en continu via un contenu pilier (podcast, newsletter, vidéo…) et via des micro-contenus.

Mais tu vas ajouter un gros lead magnet (masterclass, audit gratuit…) tous les 3 mois ou tous les 6 mois qui va attirer une vague plus haute de clients. Ce qui te permettra d’avoir une réelle stratégie de vente pérenne et surtout de ne pas te sentir submergé par une charge de travail énorme.

Donc il n’y a pas de réelles bonnes stratégies pour convertir de nouveaux clients vers tes offres d’accompagnement. Il n’existe que des stratégies qui seront en accord avec ta santé mentale et surtout qui ne vont pas générer des points de frustration de ton côté.

Freelance ou Entrepreneuse ça veut dire quoi ?

Pour parler Inclusivité et féminisme, j’accueille donc Valentine Lagand, Copywritrice. Elle optimise des funnels de vente entre 4 et 8 semaines pour des business avec des marketings inclusifs.

💬 Je lui laisse la parole.

Tu es spécialisé sur les business avec des marketings inclusifs. Pourquoi c’est important pour toi et surtout comment tu t’es intéressé à ce sujet ?

Le positionnement “copywriting et marketing inclusif” s’est plus imposé à moi en réalité.

C’est mon engagement féministe qui m’a mise sur cette voie. La représentation des femmes dans les médias, notamment le marketing, était un sujet qui me parlait beaucoup. Je me suis naturellement mise à créer du contenu sur le féminisme sur Linkedin.

Puis à partager du contenu via ma newsletter la Galerie pour former à la mise en place d’un marketing + inclusif 😊.

Changer de posture entre freelance et entrepreneur c’est souvent un gros step et ça peut faire peur : comment être sûr de faire le bon choix ?

Sincèrement, j’ai toujours considéré que j’étais entrepreneuse ! J’ai du mal à voir la distinction entre le statut “freelance” et “entrepreneur-se”.

Dans les deux cas :

  • tu dois créer une entité juridique pour exercer
  • tu proposes des offres sur un marché
  • tu dois générer des bénéfices pour faire tourner la machine (et en vivre)

Alors c’est quoi LE critère différenciant ?

Derrière le concept d’ “entrepreneur-e” VS “freelance”, je vois surtout une injonction à la croissance. En mode, être freelance ça veut dire que tu bosses seule, que tu es pas “assez gros-se” pour déléguer. Et pour beaucoup, c’est une solution temporaire.

Le Graal, ce serait de commencer à rassembler une équipe autour de toi ! CA c’est un truc d’entrepreneur-se. Sauf que c’est pas l’ambition de tout le monde en fait.

J’ai 0 envie de faire grossir mon activité de solopreneuse – mais ça ne veut pas dire que je ne suis pas entrepreneuse.

L’objectif de mon entreprise ?

  • Me faire kiffer
  • Me dégager suffisamment de temps et d’argent pour les investir ensuite dans mes projets persos (et la vie)
  • Accompagner des entreprises dont je partage les valeurs à grossir et faire + de CA

J’ai pas besoin de grossir pour ça. Je suis déjà entrepreneuse.

Pour toi, quelles sont les actions à prioriser pour construire un business aligné avec son cerveau ?

1 – Fais le tri des contenus que tu consommes !

Et vire tout ce qui te donne le sentiment de ne pas faire assez. Je vais même encore plus loin. J’utilise un bloqueur de sites avec timer (Gofuckingwork) pour rester concentrée quand je bosse.

Mais aussi une extension Chrome qui supprime les feeds des réseaux sociaux. Ça m’évite de me perdre dans 1. la boucle infernale de la comparaison et 2. la procrastination. (News Feed Eradicator)

2 – S’entourer d’indépendant-es (client-es ou concurrent-es)

Parce que c’est le meilleur moyen de trouver des missions stylées, mais aussi de faire face aux difficultés du quotidien (surtout si aujourd’hui tu bosses en télétravail).

3 – Se constituer une trésorerie, pour faire face aux hauts et aux bas de l’entrepreneuriat sereinement.

Genre vraiment ! Commence au plus tôt à apprivoiser ta compta, et mets de côté pour les mois difficiles. C’est ça qui me permet de pas vriller quand tu atteints pas mes objectifs (parce que ça, aussi, c’est normal).

Comment réussir à avancer quand tu n’as plus d’énergie pour construire la suite ?

Je m’écoute et je fais une pause ! Pour que ça n’empiète pas sur mes missions client-es :

  • Je mesure le temps que je passe sur chacune de mes tâches (avec Toogle)
  • Je prévois toujours 30% de marge par rapport au temps que j’estime mettre pour réaliser une mission.

Ça me permet de faire une pause à chaque fois que je ne suis pas inspirée pour bosser ! Pour que ça n’empiète pas sur ma création de contenus :

J’ai pas de solutions. Je ne suis pas ultra régulière, et c’est ok. Quand je sens que j’en ai marre, j’arrête. Je refuse d’accorder + d’importance à un algorithme qu’à ma santé mentale !

Merci beaucoup à Valentine pour sa participation et si tu veux continuer d’en apprendre plus sur elle, c’est par ici que ça se passe.

Je fais de toi, mon essentiel

Pour parler de business essentialiste, j’accueille donc Maud Klein, Bras Droit. Elle soutien les entrepreneurs à créer des évents virtuels.

💬 Je lui laisse la parole.

J’avoue avoir hésité à participer à la NL de Diane car elle m’a contacté à un moment où j’avais moins de temps. Et où je devais commencer à faire des choix dans mes priorités. Et c’est justement ça pour moi le fondement d’une business essentialiste, c’est revoir ce qui est important, faire le tri, choisir les actions qui, avec le minimum ou peu d’efforts, amèneront le maximum de résultats. Se concentrer sur son essentiel, sur ses objectifs de business et éviter de s’éparpiller, suivre une ligne de conduite et prendre le temps de voir quels résultats vont émerger de ce processus. Pour construire une activité florissante, rentable et qui nous apporte de la joie.

J’ai donc hésité et j’étais prête à refuser, pour me focaliser sur mes missions en cours. Cependant, parler de business essentialiste fait justement partie de mes essentiels ! De mes objectifs, de ce que j’ai envie de partager aux entrepreneur.es pour les aider à garder le cap dans leur activité et à veiller à leur écologie personnelle. Cela fait écho au « prendre soin de soi », une notion que je partage également très souvent sur mon blog et dans mes challenges ludiques. Parce que, vous l’avez peut-être déjà vu mais un rappel n’est jamais de trop ^^ il est difficile de prendre soin des autres quand on ne pense pas à son propre bien-être d’abord.

J’ai commencé à m’intéresser au business essentialiste tout simplement parce que je suis Maman ! J’ai 2 filles en bas âge dont j’ai envie de profiter tout en faisant une activité qui me passionne. Comme pour tout le monde, mon temps n’est pas extensible. Et parce qu’au début de ma vie active, je n’avais aucune envie de créer une entreprise, en voyant tous ces entrepreneur-es passer leur vie dans leur activité. Alors, lorsque j’ai finalement ouvert ma micro-entreprise, une quinzaine d’années plus tard, j’ai naturellement découvert des entrepreneur-es dont le business est hyper simple, à contre-courant de ce que j’avais pu voir par ailleurs. J’ai compris ainsi qu’il n’est pas indispensable de passer des heures, jours et soirées pour développer son activité, et surtout, la charge mentale paraît tellement réduite !

Je me suis intéressée de près à cette philosophie entrepreneuriale également parce que :

  • Je suis manifesteur (pour celles et ceux qui connaissent le Human Design, dotée d’un réservoir d’énergie pas ouf et en dent de scie (je comprends maintenant pourquoi j’avais du mal à être dans l’énergie 5/5 jours dans mon ancien job salarié !)
  • J’ai un niveau d’exigence et d’efficacité pour moi-même très élevé. Je m’intéresse donc beaucoup aux règles de productivité qui vont me faire gagner du temps.
  • Je souhaite profiter de ma vie dès maintenant. J’ai tellement entendu mes anciens collègues « Vivement la retraite ! » quand d’autres n’ont même pas pu en profiter….
  • J’ai envie de m’engager au service de l’humain et de la planète. Et une de mes valeurs fortes depuis plusieurs années, tant au niveau perso que pro, est de revenir à l’essentiel, à ce qui est vraiment important pour soi. Le Covid nous a donné un coup de pouce pour nous remettre au centre, non 😉
  • J’ai beau structurer au mieux mon activité, je garde beaucoup de choses dans ma tête. Ainsi, plus c’est simple, plus je m’y retrouve, plus je vais vite, moins je me sens stressée. J’affine d’ailleurs au fur et à mesure et je vois combien cela m’est bénéfique.
  • Je suis multipassionnée. J’aurais envie de mettre en route plein de projets ! Mais j’ai appris à être davantage focus, je simplifie au fur et à mesure pour gagner du temps, de l’argent, et me permettre, dans quelques années, de pouvoir mener plusieurs projets de front sans m’épuiser ni m’éparpiller.

Changer de posture entre freelance et entrepreneur c’est souvent un gros step et ça peut faire peur : comment être sûr de faire le bon choix ?

J’ai plutôt fait l’inverse de mon côté : j’ai démarré entrepreneure avant de prendre aussi la casquette de free-lance 1 an plus tard. Est-ce vraiment possible d’être sûr de faire le bon choix ? J’en doute, je pense que l’expérimentation, les phases de test nous permettent de répondre à ce genre de question. Je dirais donc que, si c’est important pour vous, si cela fait partie de votre vision, d’y aller progressivement, en prenant des risques mesurés et de voir ce que cela donne. Également, de bien vous entourer de personnes qui sont passées par là pour vous guider, vous éviter de faire certaines erreurs même si celles-ci auront forcément quelque chose à apprendre. Parce qu’il s’agit de toute façon de votre propre chemin, et on ne peut se calquer entièrement sur le parcours d’une autre personne.

  • Pour toi, quelles sont les actions à prioriser pour construire un business aligné avec son cerveau ?
    • La boussole qui vous permettra de revenir dans votre droit chemin et de vous motiver à chaque fois, c’est votre « Pourquoi ». Pourquoi est-ce important pour vous de construire un business essentialiste. Faites-une liste de plusieurs items.
    • Définissez votre cadre de travail, le temps alloué, vos « contraintes » personnelles ou le temps que vous voulez allouer à votre vie personnelle. Loi de Parkinson : plus on a de temps, plus on prend 😉 Ou bien, vous risquez de vous épuiser, de suffoquer si vous empiétez sur vos temps personnels ou que vous n’aviez pas pensé à des événements familiaux.
    • Apprenez à étudier là où vous avez de bons résultats vs ce qui ne marche pas. Pour arrêter de perdre de l’énergie.
    • Apprenez à nous écouter, à voir ce qui vous fait kiffer et là où vous ne vous sentez pas bien. Pour éviter de partir dans des actions qui vont vous paraître lourdes et/ou que vous allez procrastiner.
  • Comment réussir à avancer quand tu n’as plus d’énergie pour construire la suite ?
    • Se ressourcer et prendre du temps pour recharger les batteries, même si ce n’est que 15-30 min par jour.
    • Faire du tri, simplifier. Refuser des propositions ou les mettre sur liste d’attente, ne pas se surcharger davantage.
    • Revoir son pourquoi, son moteur, qu’est-ce qui nous donne l’élan dans notre business, pour qui / pour quoi on fait tout cela.
    • Bien s’entourer de personnes soutenantes, qui ne jugent pas mais qui vont nous rebooster.
    • Apprendre à se connaître pour limiter ces périodes de down (je pense qu’elles sont inévitables sur notre parcours, mais apprendre à traverser ces périodes plus rapidement et facilement au fur et à mesure, step by step)

En résumé, un business essentialiste, c’est une activité rentable et alignée avec son mode de vie et avec sa vision.

C’est redéfinir ce que le mot travail signifie pour soi. Pour moi avant cela était synonyme de labeur, c’était négatif. Aujourd’hui, il s’agit beaucoup plus d’une action juste et alignée qui peut avoir un impact positif, en commençant par soi 😉 Mais attention de ne pas culpabiliser si c’est loin d’être le cas pour vous aujourd’hui, c’est de l’expérimentation et de l’apprentissage tout au long du chemin 😉

J’aurais plaisir d’échanger avec vous sur ce sujet si le cœur vous en dit 🙂

Si tu veux continuer de suivre le travail de Maud, tu peux suivre son travail sur son compte instagram.

 

Un grand merci à Maud, Caroline & Valentine pour leur participation à cette newsletter !

C’est tout pour cette fois, mais je crois que tu as déjà pas mal de choses sur lesquels méditer non ?

Par Diane Ataya

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